Un soutien via Twitter, en pleine campagne du second tour des législatives au concurrent dissident de sa rivale en amour, et c’est tout l’Internet français qui s’enflamme, les spécialistes qui en discutent, et la droite qui s’en amuse.
Combien de temps faudra-t-il pour donner à Valérie Trierweiler ce surnom qui lui irait comme un gant, attribué autrefois à l’épouse du maréchal Lefebvre, franche et critique à la cour de Napoléon comme elle l’était dans sa vie d’avant ?