Toutes dents dehors, Nicolas Sarkozy fait des réapparitions calculées à chaque signe de faiblesse d’un candidat potentiel de l’UMP à la présidentielle de 2017, un peu comme le chat du Cheshire qui, dans Alice au Pays des Merveilles de Lewis Carroll, apparaît et disparaît à volonté en commençant par le bout de la queue et en terminant par le sourire. Mais « fin du bling-bling » après Copé, je n’y crois pas.
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