Prêt à tout pour montrer son empathie et sa compassion envers le peuple japonais en détresse, Nicolas Sarkozy se propose (unilatéralement s’entend) de rendre rapidement une petite visite aux populations éprouvées par l’accumulation de catastrophes naturelles, industrielles, et peut-être bientôt politiques, dans le nord de l’archipel.
On en oublierait presque qu’une partie du combustible utilisé à Fukushima est français, vendu par Areva qui voit avec effroi une ombre noire peser sur ses ambitions pour le futur.
Merci à Christophe pour l’idée de départ.